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Etrangers Koontz, Dean La Nuit des cafards

La Nuit des cafards

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Elle avait connu la peur étant enfant, mais jamais rien de comparable.
Aujourd'hui, séduisante célibataire, elle est scénariste à Hollywood et promise à un brillant avenir. Mais quelqu'un la traque, quelqu'un qui la hait plus que tout au monde, quelqu'un qui l'attend dans sa chambre. Quelqu'un qu'elle a déjà été contrainte de tuer. Mais qui revient encore et encore...

L'avis de scifigirl : J'ai trouvé cette histoire vraiment très réussie. On passe de scènes intenses et effrayantes à des passages plus calmes avec à chaque fois une montée progressive de la tension, et le cycle recommence, jusqu'à la fin.Ses personnages sont finement dépeints, et Dean R. Koontz se sert de flashback pour nous dévoiler peu à peu leur passé à mesure que l'enquête progresse.Certaines scènes sont assez dures psychologiquement et la conclusion m'a vraiment surprise car en définitive, les monstres ne sont pas toujours ceux que l'on croit.C'est clairement l'un de mes livres préférés de l'auteur. (...)

 

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Newsflash

 

« Nous pensions avoir trouvé le refuge idéal, un cottage perdu au coeur de la forêt. Il était sans doute un peu délabré, mais tout à fait charmant et si paisible… C’est là que la magie a commencé. Midge et moi, nous avons atteint des sommets de créativité dans nos domaines respectifs : elle a peint des toiles extraordinaires et je me suis mis à jouer de la guitare comme un dieu ! Quant à l’amour qui nous unissait, c’est devenu la magie suprême…
Mais, comme toute médaille a son revers, le cottage avait lui aussi son mauvais côté. Et c’est là qu’intervient la mauvaise magie…
Aujourd’hui encore, j’ai de la peine à croire que des choses aussi terrifiantes aient pu arriver. Et pourtant… »

L'avis de Carrie : Comme pour « Les Autres » du même auteur, l’histoire est un peu longue à démarrer. Mais c’est sans doute pour qu’on s’imprègne bien de l’enchantement idyllique du début pour mieux plonger dans l’enfer par la suite. Donc, passé le moment un peu ennuyeux du début avec la mise en place des personnages dans leur nouvelle demeure, on tourne les pages avec de plus en plus d’avidité en se demandant « mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? ». Et finalement, il ne se passe pas grand-chose. J’avais espéré quelque chose de plus spectaculaire, plus effrayant. Moi qui aime les histoires de maisons hantées, je suis restée sur ma faim avec celle-ci. Un long roman (380 pages) pour peu de frayeur en définitive. En tout cas, moi qui n’avais déjà pas beaucoup de sympathie pour les sectes, ce roman m’a définitivement fâchée avec elles.
Donc, un peu déçue quand même.

 

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