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Un jeu cruel

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Lona Kelvin :une naïve orpheline. A dix-sept ans, elle est mère de cent enfants.
Minner Burris : un astronaute. Son corps démembré a été remodelé par des créatures extra-terrestres; certains organes ont été remplacés par des prothèses, d'autres par des éléments non humains.
Duncan Chalk : un vautour. Il se nourrit des émotions des hommes et des femmes, de leurs peurs, de leurs douleurs, de leurs colères. Son corps énorme dévore avec délices des millions de tragédies qu'il a soigneusement préarrangées.
Lona Kelvin, Minner Burris, Duncan Chalk : De leur rencontre va naître une histoire riche en émotions, à même de satisfaire les besoins des gens normaux, monstres assoiffés de sensations fortes.


L'avis de scifigirl : Ce roman est celui qui m'a fait découvrir Silverberg au collège. A l'origine une critique sur le monde du spectacle, mais on peut tellement bien faire un parallèle avec le voyeurisme télévisuel actuel qu'on dirait que le livre n'a pas pris une ride.
Duncan Chalk en est l'incarnation vivante. Il va réunir la jeune fille et l'infortuné astronaute en promettant un nouveau corps à Minner ainsi qu’un de ses bébés à Lona, à la seule condition que le monde entier puisse en être témoin.
C'est glauque, tragique, triste, révoltant, bref ça ne laisse pas indifférent. L'un des meilleurs Silverberg que j'ai pu lire.

 

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Newsflash

 

Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre… Un chef-d’œuvre de la terreur vendu à plus d’un million d’exemplaires !


L'avis d'Abso : Un roman qui souffle un peu le chaud et le froid je trouve. Un début un peu poussif avec une succession de tableaux nous montrant la folie que fait naître ce fameux brouillard. Ensuite, vers la moitié du livre, l'histoire se met vraiment en place pour finir de manière spectaculaire mais peut être un petit peu brutale. Vous l'aurez compris, ce roman n'est ni bon ni mauvais pour moi, il se lit, se range, s'oublie...

 

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