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Francophones Leroux, Gaston La Poupée sanglante

La Poupée sanglante

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Benedict Masson, relieur d'art et poète de génie, mais atrocement laid, se meurt d'amour pour sa voisine, la belle Christine Norbert, la fille de l'horloger et la fiancée du prosecteur Jacques Cotentin. Benedict la sait amoureuse d'un étrange personnage, aux allures de statue de cire, qu'elle cache dans sa chambre... Qui est cet homme que nul ne voit jamais, et qui semble dénué de paroles et presque de vie ?
Cependant, quand Christine demande à Benedict de bien vouloir accepter un emploi à ses côtés chez le Marquis, qui la poursuit de ses assiduités, Benedict ne sait pas encore qu'il va être précipité dans une fresque horrifique dont il va devenir à la fois l'acteur et la principale victime. Accusé injustement de multiples meurtres, le poète est jugé et condamné à monter sur l'échafaud... A moins que le prosecteur ne ravisse auparavant son âme à la mort...


L'avis de Carrie : Bien évidemment, je ne peux lire ce roman sans inévitablement avoir les personnages de la série télévisée dans la tête. Est-ce que ça en a gâché la lecture ? Je dirais que non !
Trois histoires différentes, à la fois tragiquement humaine (Benedict Masson , dont la laideur fait fuir les femmes), scientifiquement étrange (L'horloger Norbert, sa fille Christine et son docteur de fiancé Jacques Corentin qui cachent et "soignent" un étrange personnage beau comme un Dieu) et enfin, mystérieusement vampirique (Le coquin de marquis de Coulteray qui terrifie son étrange et anémique épouse). Trois histoires qui risquent bien de se recouper après la condamnation à mort de Benedict Masson suite aux meurtres de 7 femmes et du garde-chasse... Cette suite, et peut-être l'éclaircissement de ce mystère, qu'on retrouve dans le second tome "La machine à assassiner".

 

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Newsflash

 

Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre… Un chef-d’œuvre de la terreur vendu à plus d’un million d’exemplaires !


L'avis d'Abso : Un roman qui souffle un peu le chaud et le froid je trouve. Un début un peu poussif avec une succession de tableaux nous montrant la folie que fait naître ce fameux brouillard. Ensuite, vers la moitié du livre, l'histoire se met vraiment en place pour finir de manière spectaculaire mais peut être un petit peu brutale. Vous l'aurez compris, ce roman n'est ni bon ni mauvais pour moi, il se lit, se range, s'oublie...

 

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