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Etrangers Hingle, Metsy Le Masque de la mort

Le Masque de la mort

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masque mort

 

Elisabeth voit son mari, debout près du lit de leur petit Timmy. Un sourire mauvais aux lèvres, Adam tient un oreiller dans ses mains. Un oreiller qu’il approche lentement du visage de l’enfant…
Nouée par l’angoisse, Lily inspire lentement pour oublier le cauchemar qui, une fois encore, vient de la réveiller en sursaut. Elle est pourtant à l’abri, à La Nouvelle-Orléans. Elle s’appelle désormais Lily Tremont et, aux yeux de tous, elle est cette jeune veuve, mère d’un petit garçon de trois ans, qui travaille comme serveuse au restaurant River Bend.
Mais comment oublier qu’elle est aussi une fugitive, qui vit depuis plusieurs mois dans l’angoisse permanente d’être retrouvée par son mari ? Cet homme, un ami de sa mère, l’a prise sous sa coupe à la mort brutale de cette dernière, et asservie à ses moindres désirs. C’est lorsqu’elle a compris qu’il était prêt à tuer leur fils pour mieux la posséder qu’Elisabeth a décidé de s’échapper.
Et, dans sa fuite, elle a emporté une disquette compromettante, capable d’envoyer son mari en prison. Une disquette qui est sa seule arme contre lui, mais qui donne aussi à Adam une raison supplémentaire de la retrouver…

L'avis de Nana : Ce n'est peut être pas de "la grande littérature", mais c'est parfois agréable de lire un livre au style "simple" et sans prise de tête.Idéal si vous voulez juste vous vider l'esprit .Idée de base intéressante, personnages attachants...mais quand même pour moi un "roman de gare"

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010