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Francophones Claret, Alain Si le diable m'étreint

Si le diable m'étreint

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Ed Craven est peintre. Il vit sous un faux nom, quelque part en Europe, dans un village de montagne. Il peint son enfer personnel au quotidien jusqu'au jour où, à l'autre bout du monde, son fils Jason, qu'il a abandonné des années auparavant, est brutalement enlevé. Lorsque Craven se met à la recherche de ce fils perdu, il ouvre la porte à la folie et lie son destin à celui de Janet Fresh, agent du FBI. Tous deux ont un passé hanté de fantômes et de crimes. Quant à leur quotidien, il ressemble à un orage meurtrier. Du jardin du Luxembourg aux marais boueux de Floride, l'enquête qui se dessine sera faite de sang et de douleur, d'amour et de désir. Lorsque le diable vous étreint, le temps et la vérité ne vous appartiennent plus.

L'avis de Nono : Très tentée par le résumé, j'ai cependant été passablement déçue par ce bouquin. Je n'ai pas passé un mauvais moment, et surtout je l'ai terminé, mais bof, rien de formidable selon moi.

 

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Newsflash

 

David ne croit pas aux fantômes. Rationaliste convaincu, il met un point d'honneur à démasquer les faux médiums et à attribuer des causes naturelles aux prétendus phénomènes paranormaux. Mais un véritable mystère plane sur la vieille demeure d'Edbrook et, pour la première fois, David se heurte à l'inexplicable. Pour la première fois? Dans son acharnement à nier tout ce qui relève du surnaturel, ne cherche-t-il pas finalement à oublier ce qui le hante depuis l'enfance?

 

L'avis de Carrie : Voilà une histoire de fantômes et de vieille maison hantée comme je les aime. La preuve, j'ai lu ce livre en 2 après-midi. David, qui ne croit pas aux fantômes, va être confronté à ses propres démons et ses propres fantômes. Bon, je dois bien avouer qu'assez rapidement (avant d'avoir terminé la moitié du roman), j'ai deviné ce qu'il en était des habitants de cette lugubre maison. Mais ça n'a enlevé en rien le plaisir de la lecture de ce roman.

 

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