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La Gorgone

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gorgone

 

Le Comté de Nice en l’an 1535.
La Cour de Savoie quitte Chambéry menacé par la belliqueuse politique de François Premier. Une longue colonne de bêtes de bât traverse les Alpes pour mettre à l’abri du rempart niçois la duchesse Béatrix d’Aviz, les princes héritiers et le saint suaire. Les Niçois accueillent leur souveraine avec enthousiasme mais le Comte de Montreil ne peut serrer François Bréa contre son cœur. Le peintre a disparu, délaissant les travaux de l’atelier, pour suivre de mystérieux Batuti venus le chercher au soir du mercredi des cendres. La découverte, dans la marine monégasque, d’un noyé portant les stigmates du Christ entraîne le comte à la recherche du peintre vers la seigneurie des Grimaldi. Il trouvera dans le vêtement du noyé le troublant dessin d’une Gorgone aux yeux de braise...


L'avis de Nono : Second volet d'une trilogie passionnante sur le Moyen-Age niçois. On y retrouve les personnages de La Pala dans une quête de leurs origines religieuses et du peintre Ludivic Bréa. L'intrigue se déplace sur le rocher Monégasque, où la mythologie semble se mêler à l'aventure.

 

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Newsflash

 

David ne croit pas aux fantômes. Rationaliste convaincu, il met un point d'honneur à démasquer les faux médiums et à attribuer des causes naturelles aux prétendus phénomènes paranormaux. Mais un véritable mystère plane sur la vieille demeure d'Edbrook et, pour la première fois, David se heurte à l'inexplicable. Pour la première fois? Dans son acharnement à nier tout ce qui relève du surnaturel, ne cherche-t-il pas finalement à oublier ce qui le hante depuis l'enfance?

 

L'avis de Carrie : Voilà une histoire de fantômes et de vieille maison hantée comme je les aime. La preuve, j'ai lu ce livre en 2 après-midi. David, qui ne croit pas aux fantômes, va être confronté à ses propres démons et ses propres fantômes. Bon, je dois bien avouer qu'assez rapidement (avant d'avoir terminé la moitié du roman), j'ai deviné ce qu'il en était des habitants de cette lugubre maison. Mais ça n'a enlevé en rien le plaisir de la lecture de ce roman.

 

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