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Francophones Vigan, Delphine de Delphine de Vigan

Delphine de Vigan

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delphine de vigan

 

Delphine de Vigan est une romancière française née le 1er mars 1966 à Boulogne-Billancourt.

Apparue discrètement sur la scène littéraire, Delphine de Vigan a su se faire une place de choix parmi les écrivains français. Directrice d'études dans un institut de sondages, la jeune femme écrit le soir, sans prétendre à la carrière de romancière qui sera la sienne, avant de pouvoir vivre de sa plume. Après la parution, en 2001, d'un premier récit d'inspiration autobiographique intitulé Jours sans faim, c'est avec le recueil de nouvelles Les Jolis Garçons et le roman Un soir de décembre, deux ouvrages sur le thème de la désillusion amoureuse, que l'écrivain gagne le coeur d'un large public. Un bouche à oreille enthousiaste contribue au triomphe de No et moi, l'histoire d'une rencontre entre une adolescente surdouée et une jeune SDF qui vaut à son auteur d'être plébiscitée par les libraires et les lecteurs. Mêlant avec justesse les dimensions sociale et intime, l'écrivain poursuit dans ce registre avec le roman Les Heures souterraines, paru en 2009. Si ses romans traitent souvent du désenchantement, Delphine de Vigan incarne le succès d'une littérature modeste et sans esbroufe et la possibilité de réussir à force de talent et de persévérance.

(Source : Evene)

Bibliographie :

  • Jours sans faim, 2001
  • Les Jolis Garçons, 2005
  • Un soir de décembre, 2005
  • No et moi, 2007
  • Sous le manteau, 2008
  • Les Heures souterraines, 2009
  • Rien ne s'oppose à la nuit, 2011
 

Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010