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Nicola Sirkis

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nicola sirkis

 

Nicola Sirkis, né Nicolas Sirchis le 22 juin 1959 à Antony, dans les Hauts-de-Seine, est un chanteur, guitariste et parolier français, connu pour avoir formé et joué avec le groupe Indochine.

En mai 1981, il forme avec un ami, Dominique Nicolas, le groupe Indochine. Son frère Stéphane et Dimitri Bodianski les rejoignent par la suite. Il est aujourd'hui le seul membre restant de la formation initiale. Mais dans les années 90, la presse délaisse le groupe, en parlant par exemple de « sinistre ringardise échappée des années 1980 ». Nicola Sirkis perd son frère (Stéphane Sirkis) le 27 février 1999. Il composera en 2002 la chanson Electrastar qui lui rend hommage. En 1992, il sort son unique album solo, Dans la lune..., réalisé avec Marion Bataille, sa petite amie de l'époque. En 2002, son groupe Indochine retrouve le succès avec J'ai demandé à la lune, qui fait sensation, la presse parlant de « renouveau ». En 2005, la tournée d'Alice et June se révèle un véritable triomphe. En 2009, la tournée de La République des Meteors s'affiche complète et le succès du groupe est au rendez-vous.

(Source : Wikipedia)

Bibliographie :

  • Les Mauvaises nouvelles, 1998
  • Les Petites Notes du Meteor tour, 2010
  • Kissing my songs, 2011
 

Newsflash

 

« Nous pensions avoir trouvé le refuge idéal, un cottage perdu au coeur de la forêt. Il était sans doute un peu délabré, mais tout à fait charmant et si paisible… C’est là que la magie a commencé. Midge et moi, nous avons atteint des sommets de créativité dans nos domaines respectifs : elle a peint des toiles extraordinaires et je me suis mis à jouer de la guitare comme un dieu ! Quant à l’amour qui nous unissait, c’est devenu la magie suprême…
Mais, comme toute médaille a son revers, le cottage avait lui aussi son mauvais côté. Et c’est là qu’intervient la mauvaise magie…
Aujourd’hui encore, j’ai de la peine à croire que des choses aussi terrifiantes aient pu arriver. Et pourtant… »

L'avis de Carrie : Comme pour « Les Autres » du même auteur, l’histoire est un peu longue à démarrer. Mais c’est sans doute pour qu’on s’imprègne bien de l’enchantement idyllique du début pour mieux plonger dans l’enfer par la suite. Donc, passé le moment un peu ennuyeux du début avec la mise en place des personnages dans leur nouvelle demeure, on tourne les pages avec de plus en plus d’avidité en se demandant « mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? ». Et finalement, il ne se passe pas grand-chose. J’avais espéré quelque chose de plus spectaculaire, plus effrayant. Moi qui aime les histoires de maisons hantées, je suis restée sur ma faim avec celle-ci. Un long roman (380 pages) pour peu de frayeur en définitive. En tout cas, moi qui n’avais déjà pas beaucoup de sympathie pour les sectes, ce roman m’a définitivement fâchée avec elles.
Donc, un peu déçue quand même.

 

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