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Stéphanie Janicot

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stephanie janicot

 

Stéphanie Janicot, née à Rennes le 28 août 1967, est un écrivain français.

Après avoir été mannequin, Stéphanie Janicot se fait remarquer dès son premier roman, Les Matriochkas, encensé par la critique et récompensé par plusieurs prix dont le prix Goya du premier roman, le prix René Fallet, etc. Suivent Des Profondeurs, Salam, Ulysse et Une Traviata qui clôt le cycle consacré aux illusions de jeunesse et la recherche d'infini. Elle se concentre alors davantage sur les relations humaines, hommes-femmes, en particulier, avec la relation fils-mère dans Non, ma mère n'est pas un problème, et la relation de couple dans La Constante de Hubble. Dans son recueil de nouvelles Tu n'es pas seul(e) à être seul(e), elle analyse toutes les formes de solitude. Dans son dixième roman, Cet effrayant besoin de famille, Stéphanie Janicot explore les relations frères-soeurs au sein des familles recomposées. En 1992, Stéphanie Janicot devient journaliste à Bayard Presse où, en 2004, elle participe à la création du magazine culturel féminin Muze. Elle y anime la rubrique littéraire. Stéphanie Janicot écrit dans un style simple et limpide, créant des personnages attachants pour sonder notre société contemporaine.

(Source : Evene)

Bibliographie :

  • Les Matriochkas, 1996
  • Des Profondeurs, 1997
  • Salam, 1999
  • Soledad, 2000
  • Ulysse, 2000
  • Une traviata, 2001
  • Non, ma mère n'est pas un problème, 2002
  • La Constante de Hubble, 2003
  • Tu n'es pas seul(e) à être seul(e), 2005
  • Cet effrayant besoin de famille, 2006
  • Le privilège des rêveurs, 2007
  • 100 romans de première urgence pour (presque) tout soigner, 2008
  • Dans la tête de Shéhérazade, 2008
  • L'Œil du cyclone, 2009
  • Que tous nous veuille absoudre, 2010
 

Newsflash

 

David ne croit pas aux fantômes. Rationaliste convaincu, il met un point d'honneur à démasquer les faux médiums et à attribuer des causes naturelles aux prétendus phénomènes paranormaux. Mais un véritable mystère plane sur la vieille demeure d'Edbrook et, pour la première fois, David se heurte à l'inexplicable. Pour la première fois? Dans son acharnement à nier tout ce qui relève du surnaturel, ne cherche-t-il pas finalement à oublier ce qui le hante depuis l'enfance?

 

L'avis de Carrie : Voilà une histoire de fantômes et de vieille maison hantée comme je les aime. La preuve, j'ai lu ce livre en 2 après-midi. David, qui ne croit pas aux fantômes, va être confronté à ses propres démons et ses propres fantômes. Bon, je dois bien avouer qu'assez rapidement (avant d'avoir terminé la moitié du roman), j'ai deviné ce qu'il en était des habitants de cette lugubre maison. Mais ça n'a enlevé en rien le plaisir de la lecture de ce roman.

 

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