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Francophones Gavalda, Anna La Consolante

La Consolante

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« Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant.
Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C’est fini.
C'est fini, tu comprends ?
Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tour se fissure en lui; Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.» A.G.

L'avis de Nono : Anna Gavalda nous revient avec un style sensiblement différent, tour à tour surprenant, répulsif, agréable et lassant. Mais les personnages sont là, l'attrait également. On adore ou on peine, mais on ne s'arrête pas en cours de route et l'on suit jusqu'à la dernière page les aventures de Charles, Anouk, Kate et les autres. Un gros succès qui s'annonce, dans une atmosphère toujours aussi chaleureuse et familiale.

 

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Newsflash

 

Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre… Un chef-d’œuvre de la terreur vendu à plus d’un million d’exemplaires !


L'avis d'Abso : Un roman qui souffle un peu le chaud et le froid je trouve. Un début un peu poussif avec une succession de tableaux nous montrant la folie que fait naître ce fameux brouillard. Ensuite, vers la moitié du livre, l'histoire se met vraiment en place pour finir de manière spectaculaire mais peut être un petit peu brutale. Vous l'aurez compris, ce roman n'est ni bon ni mauvais pour moi, il se lit, se range, s'oublie...

 

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