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Francophones Cobert, Harold Un hiver avec Baudelaire

Un hiver avec Baudelaire

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Sa femme l'a mis dehors, son CDD n'est pas prolongé. Philippe est happé dans la spirale infernale et passe de l'autre côté de la barrière sociale : SDF, confronté à la dure loi de la rue, faite de solitude, de honte et de violence. Jusqu'au jour où il rencontre Baudelaire. Grâce à cet inénarrable compagnon d'infortune, et avec l'aide d'un vendeur de kebab, d'une riche veuve et d'une dame pipi, il réussit à remonter la pente. Et à retourner à une vie normale. Plongée sans fard dans le quotidien des plus démunis, Un hiver avec Baudelaire, en mêlant romanesque et vérité sociale, poésie et âpreté, rappelle cet équilibre précaire qui régit nos vies.

L'avis de Nono : Tout va de mal en pis pour Philippe qui, du jour au lendemain, se retrouve seul, sans emploi et à la rue. Les déceptions s'accumulent et Philippe découvre la dure loi d'une vie de SDF où la déchéance côtoie les instincts les plus sombres et les désespoirs les plus intenses. Mais un ange gardien va faire son apparition au détour d'un parc. Les oreilles dressées, la queue frétillante, une mine à laquelle on ne peut résister... Baudelaire va imposer sa joie de vivre et sa persévérance.
Un roman plein de tendresse, touchant et qui nous laisse songeur. Bercé par l'imaginaire du conte ingénieux qui revient plusieurs fois dans le roman, on ne peut tourner la dernière page sans repenser à Baudelaire et à toutes ces grandes âmes croisées. Une belle histoire donc, qui nous laisse un sentiment étrange et nous fait regarder différemment des gens que l'on croise tous les jours.

 

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Newsflash

 

Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre… Un chef-d’œuvre de la terreur vendu à plus d’un million d’exemplaires !


L'avis d'Abso : Un roman qui souffle un peu le chaud et le froid je trouve. Un début un peu poussif avec une succession de tableaux nous montrant la folie que fait naître ce fameux brouillard. Ensuite, vers la moitié du livre, l'histoire se met vraiment en place pour finir de manière spectaculaire mais peut être un petit peu brutale. Vous l'aurez compris, ce roman n'est ni bon ni mauvais pour moi, il se lit, se range, s'oublie...

 

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