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Etrangers Szabo, Magda Magda Szabo

Magda Szabo

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magda szabo

 

Magda Szabo, écrivaine hongroise, est née le 5 octobre 1917 à Debrecen et morte à Kerepes le 19 novembre 2007.

Issue d'une famille cultivée de la grande bourgeoisie hongroise, Magda Szabo hérite des dons littéraires de sa mère. Elle commence par écrire des poèmes avant de se lancer dans la fiction. Sa carrière débute avec vigueur après la Seconde Guerre mondiale, et elle apparaît comme le plus grand espoir de la littérature hongroise. Cependant, elle cesse d'écrire après 1948 pour des raisons politiques, et vit en donnant des cours et en faisant des traductions. Elle réapparaît sur la scène littéraire à la fin des années 1950, et connaît un véritable succès, récompensée par plusieurs prix hongrois. Sa notoriété ne cesse de s'accroître, à l'échelle nationale et internationale, jusqu'en 1987, année où elle publie La Porte, dont le succès est mondial. Si la Hongrie la considère comme un classique vivant de la littérature, ses livres sont assez peu traduits en France, et il faut attendre 2003 pour pouvoir lire La Porte, finalement récompensé par le prix Femina du roman étranger. En 2006, une nouvelle édition du roman La Rue Katalin, publié en Hongrie en 1969 puis une première fois au Seuil en 1974, est publiée en France. On y retrouve un thème récurrent dans son oeuvre, celui de l'insurrection de 1956. Ecrivain engagée, elle n'a d'ailleurs jamais hésité à aborder des sujets sensibles de sa plume gracieuse et envolée. Le 19 novembre 2007, en fin d'après-midi, la mort vient cueillir Magda Szabo, alors qu'elle est en train... de lire.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Fresque, 1963
  • Le Faon, 1962
  • Bleu-île, 1992
  • La Ballade d'Iza, 2005
  • Lala, Prince du Pays des Fées, 1993
  • Les Parents perdus, 1970
  • Rue Katalin, 1974
  • La Porte, 2003
  • L'Instant, 2009
  • Le Vieux puits, 2009
 

Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010