Marque ta page

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Etrangers Hornby, Nick Haute fidélité

Haute fidélité

Envoyer Imprimer PDF

haute fidélitéhaute fidélitéhaute fidélité

 

Rob, bientôt 36 ans, est mal en point : "Qu'ai-je fait de ma vie ?" se demande ce sempiternel adolescent qui craint de vieillir (même bien), au lendemain d'une rupture, en contemplant les bacs de son magasin de disques pop paumé dans une ruelle de Londres. [... ] Rob, qui se demande in fine s'il ne serait pas un nul, décide d'entamer la falaise. Il récapitule ses amours, depuis le premier, à douze ans, qui dura trois fois deux heures jusqu'au dernier, une nuit correcte avec une chanteuse américaine, et dresse un inventaire hilarant de ses états d'âme.

 

L'avis de Mimile : Je ne connaissais Nick Hornby que de nom, un nom qui fleure bon l'Angleterre et la British Pop. J'avais également vu l'excellent About a Boy avec Hugh Grant (ceci explique l"'excellent"..).
J'ai délaissé un moment Hardy pour faire un bon dans le futur, dans le Londres des années 1990 avec Haute Fidélité, (1995 précisément), un livre traitant lui aussi du thème de l'amour (pour changer...). Les codes ont changé, mais les coeurs sont toujours aussi tourmentés. L'histoire est racontée du point de vue d'un jeune disquaire fraîchement largué, qui se remémore ses différentes conquêtes (avec plus ou moins de nostalgie...), le tout accompagné d'une jolie bande son (dont une playlist de déprime Post Rupture, avis aux amateurs !)
J'ai aimé ce livre pour son côté Pop, et surtout le style très marrant de Hornby qui sort parfois des choses que j'aurais pu écrire : vous savez, quand vous lisez quelque chose et que vous dites : "Ouais, c'est carrément ça". Les sentiments décrits sont très justes et ne tombent jamais dans le niais.
Après je dirai que ce qui m'a moins plu, c'est le côté plutôt prévisible de l'intrigue, qui n'est d'ailleurs pas palpitante. Mais le style est tellement cool qu'il prime sur tout !
Essai concluant donc, pour mon premier Hornby ! Je vais m'intéresser maintenant à ses autres oeuvres.

 

Pour discuter de cette lecture

 

Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010