Marque ta page

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille

Ring

Envoyer Imprimer PDF

ring

 

C’est par hasard qu’Asakawa, journaliste à Tokyo, apprend la mort mystérieuse d’un adolescent : une crise cardiaque… et une expression épouvantée sur le visage ! Lorsqu’il apprend que trois autres adolescents sont morts de la même manière et le même jour, il décide de mener son enquête. Tout a commencé avec une cassette vidéo de scènes énigmatiques… qui frappent le spectateur d’une terrible malédiction : il meurt dans une semaine ! Et Asakawa a visionné cette cassette…

L'Avis de Raphaël
: Ceux qui ont vu le célèbre film risquent de belles surprises : l’adaptation est vraiment infidèle !
Mais ici, c’est le roman qui nous intéresse. C’est une intrigue bien ficelée, pleine de mystères. Ce héros ordinaire (Asakawa n’est pas un grand reporter, mais un journaliste semblable à ses collègues, pas spécialement brillant) apporte une certaine touche. Ryuji, l’ami qui va l’assister, est plus haut en couleurs. Ces deux personnages principaux se complètent bien, et on s’attache autant à l’un qu’à l’autre pour des raisons différentes.
La faiblesse, c’est le style, qui est incroyablement plat. Est-ce un problème de traduction ? Toujours est-il que les phrases ne sont pas un régal à lire. L’écriture au présent est un choix tout à fait défendable. Mais pas ce style bien plus proche d’un compte-rendu que d’un roman. Vraiment dommage ! Mais je ne suis pas découragé et compte bien lire les suites (Double hélice et La boucle) ainsi que Ring Zéro, recueil de nouvelles qui constitue une préquelle.

 

Pour discuter de cette lecture

 

Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010