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Etrangers Jansson, Tove Moomin et la grande inondation

Moomin et la grande inondation

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moomin grande inondation

 

Les Moomins sont une famille très unie, de créatures rondes comme des hippopotames, qui mènent une vie de bohème et d'aventure. Sur la route qui les mène à Moominpapa, le petit troll et sa maman rencontrent nombre de créatures toutes plus ou moins dangereuses.

Avis de Mélusine :
Moomin et la grande inondation narre pour la première fois, me semble-t-il, les aventures de Moomin, le petit troll finlandais. Accompagné de sa maman, il cherche inlassablement son père qui s'est perdu après avoir suivi d'étranges petits êtres surnommés hatifnattes. Ils vont pour cela devoir traverser multiples lieux, parfois merveilleux, parfois dangereux et vont rencontrer au fil de leur voyage des créatures plus fabuleuses et étranges les unes que les autres.
J'ai beaucoup apprécié l'imagination de l'auteur qui émaille son récit d'un bestiaire insolite (les hatifnattes ou Tulipa, la fille aux cheveux bleus qui brillent la nuit par exemple) et sait s'en servir d'une façon ingénieuse. Je crois que j'aurais adoré lire ce livre enfant, tellement le récit est imprégné de magie. Mais la thématique est assez triste et angoissante pour de jeunes enfants (la perte d'un parent). Les lieux que traverse Moomin ne sont pas exempt de dangers. Moomin se retrouve dès le début de l'aventure perdu avec sa maman au fin fond d'une grande forêt par exemple. Et Moomin devra faire face à un terrible danger : la grande inondation ! Tout n'est pas sombre bien sûr. Certains lieux sont bien sympathiques comme le jardin avec ses ruisseaux de limonade, et sa pelouse faite en sucre filé et puis c'est sans compter toute la philosophie "Moominesque" qui nous donne de belles leçons de vie. Le récit est également court, bourré de belles illustrations, donc parfait pour des enfants de 9 ans.

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010