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Etrangers Wyndham, John John Wyndham

John Wyndham

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john wyndham

 

John Wyndham est un écrivain britannique, né le 10 juillet 1903 à Knowle dans le Warwickshire et décédé le 11 mars 1969 à Londres.

John Wyndham est né le 10 juillet 1903 dans le village de Knowle, à quelques kilomètres de Birmingham, en Angleterre. Son père, George Bennon Harris travaillait comme avocat et sa mère, Gertrude Parkes, était la fille d'un riche quincailler. La famille vit à Edgbaston jusqu'en 1911, date à laquelle ses parents divorcent. John Wyndham et son frère, le futur écrivain Vivian Beynon Harris, déménagent avec leur mère dans Edgbaston, puis, à partir de 1915, logent dans des hôtels. John Wyndham fréquente un grand nombre d'écoles britanniques, dont la Blundell's School dans le Devon pendant la Première Guerre mondiale. Sa plus longue scolarisation se fera à la Bedales School (1918-1921) de Steep dans le Hampshire. En novembre 1919, il publie son premier récit de science-fiction intitulé Vivisection dans The Bee, le journal de l'école. Après avoir quitté l'école, John Wyndham fait des études agricoles pendant quelque temps, songe à étudier à l'Université d'Oxford, puis exerce différents métiers pour gagner sa vie, tout en restant dépendant de l'aide financière que lui octroie sa famille. Il commence à écrire des récits gothiques en 1925, mais sans succès. Il continue de tenter sa chance dans différentes voies comme le droit, le commerce et la publicité. En 1929, il découvre le magazine américain Amazing Stories qui lui donne envie d'écrire dans le genre de la science-fiction et de proposer ses textes à différents périodiques. Son premier succès est Worlds to Barter, publié dans la revue Wonder Stories en 1931. Pendant les années 1930, il écrit de nombreuses nouvelles destinées aux périodiques américains, aussi bien des histoires policières que de la science-fiction. Entre 1940 et 1943, John Wyndham travaille officiellement pour le gouvernement britannique sur le système de censure en temps de guerre. Il entre ensuite dans l'armée et sert comme caporal des opérations de chiffrage dans le Royal Corps of Signals et participe à la Bataille de Normandie. Inspiré par le succès de son frère (qui publia quatre nouvelles avant même que John Wyndham ne se soit fait un nom) il modifia son style pour son roman intitulé Le Jour des Triffides (titre original : The Day of the Triffids). Le roman fut un énorme succès et contribua à établir la réputation de John Wyndham comme auteur de science-fiction. En 1963, John Wyndham épouse Grace Wilson qu'il connaît depuis plus de vingt ans et habite non loin de Petersfield, dans le Hampshire, juste à côté de la Bedales School.

(Source : Wikipedia)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • La Révolte des Triffides, 1956
  • Le péril vient de la mer, 1958
  • Les Transformés, 1958
  • Le Village des damnés (ou Les Coucous de Midwich), 1959
  • Le Temps cassé, 1962
  • L'Herbe à vivre, 1962
  • Les Triffides, 1974
  • Choky (ou Les Chrysalides), 1976
  • La Machine perdue, 1976
  • Le Jour des Triffides, 2004
 

Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010