Marque ta page

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Francophones Quint, Michel Effroyables jardins

Effroyables jardins

Envoyer Imprimer PDF

effroyables jardinseffroyables jardinseffroyables jardins

 

Selon quelques témoins, lors du procès de Maurice Papon, la police a empêché un clown d'accéder à la salle d'audience. Cette homme revient alors régulièrement aux audiences sans son déguisement...

L'avis de Nono
: Ce livre est tout simplement magnifique ! Très court pour un roman, et pourtant il contient une part d'émotion immense. Il n'y en a pas beaucoup des bouquins qui m'ont arraché une ou deux larmes, mais alors celui-ci y a parfaitement réussi et il m'a fallu un temps après lecture pour me replonger dans un autre livre. Et l'immanquable après coup, c'est de voir l'adaptation ciné : grandiose ! L'auteur, je le connaissais déjà avant ce livre qui est considéré comme un de ses meilleurs, je n'ai donc pas été surprise par sa qualité d'écriture. A lire d'urgence si ce n'est pas déjà fait !

 

Pour discuter de cette lecture

 

Newsflash

 

Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre… Un chef-d’œuvre de la terreur vendu à plus d’un million d’exemplaires !


L'avis d'Abso : Un roman qui souffle un peu le chaud et le froid je trouve. Un début un peu poussif avec une succession de tableaux nous montrant la folie que fait naître ce fameux brouillard. Ensuite, vers la moitié du livre, l'histoire se met vraiment en place pour finir de manière spectaculaire mais peut être un petit peu brutale. Vous l'aurez compris, ce roman n'est ni bon ni mauvais pour moi, il se lit, se range, s'oublie...

 

Pour discuter de cette lecture