Un coffret renferme l'arme absolue. La plus inattendue, La plus imparable. Le célèbre comique le Cyclope est mort d'avoir voulu le posséder. On ne l'ouvre qu'à ses risques et périls.
Après le père de nos pères et l'ultime secret, une nouvelle enquête de Lucrèce et Isidore au coeur d'un des grands mystères humains : le rire.
L'avis de Jaina : Alors, en fait, j'avais arrêté de lire les livres de Bernard Werber car depuis quelques lectures j'avais l'impression de toujours lire plus ou moins la même chose. Et puis je me suis dit que ça serait pas mal de relire l'un de ses livres, je me disais que cette impression que j'avais venait du fait que j'avais lu un bon nombre de ses livres.
Bon ben, non, j'ai toujours la même impression, l'histoire est loooongue et il n'y a pas de réel rebondissement, même quand j'ai appris le dénouement j'ai pas sauté au plafond. Ça traîne en longueur et je dois avouer qu'à partir des 200 dernières pages j'ai commencé à vraiment décrocher de l'histoire et j'ai plus ou moins survolé quelques passages.
Je vais quand même aborder les points positifs parce que Bernard Werber est un auteur que j'apprécie tout de même, surtout parce que j'aime beaucoup sa philosophie en général, je ne sais pas pourquoi mais cet auteur m'est très sympathique ! Bon, revenons au livre, j'ai aimé retrouver les deux personnages que sont Lucrèce et Isidore, on en apprend plus sur le passé de Lucrèce et ça j'ai bien aimé. Mine de rien, on les a déjà suivis dans deux autres romans et ils sont attachants ces deux-là ! J'ai trouvé sympa le clin d'oeil qu'a fait Werber à ses potes en nommant certains personnages : Chattam, Thilliez, Scalèse ou encore Loevenbruck ! La construction des chapitres est aussi plaisante, à chaque début de chapitre on a soit une blague, soit un texte historique plus ou moins fictif, sauf qu'à force, on finit par carrément sauter ces passages-là, c'est dommage.
Au final ce n'est pas un mauvais livre en soit, mais c'est un livre assez plat même s'il y a de l'action (notamment des courses poursuites), 800 pages pour en arriver à ce dénouement ça paraît un peu exagéré tout de même. Si vous aimez Werber lisez-le, sinon, je ne pense pas que vous serez intéressés.
PS : là je me dis : "mais qui je suis pour parler comme ça d'un livre de Bernard Werber ?" comme je l'ai déjà dit j'apprécie beaucoup cet auteur, en fait quand j'y pense je crois que c'est grâce ou à cause du livre les thanatonautes qui est le premier livre que j'ai lu de lui et que j'ai vraiment beaucoup aimé, d'ailleurs je l'ai relu encore 2 fois je crois depuis. Alors ça me crève un peu le coeur de parler comme ça d'un auteur qui m'a tellement fait rêver par le passé (sans parler des fourmis bien sûr !)