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Etrangers Masterton, Graham Le Diable en gris

Le Diable en gris

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diable grisdiable gris

 

Une jeune femme brutalement taillée en pièces dans sa maison de Virginie… avec une arme vieille de cent ans. Un officier à la retraite éviscéré… par un assaillant invisible. Un jeune homme, les yeux crevés dans sa baignoire… puis bouilli vif. Qu’ont ces victimes en commun ? Quel être de cauchemar les a massacrées ? Le mystère s’épaissit lorsque la police, jusque-là impuissante, reçoit l’aide d’une petite fille qui semble être la seule capable de voir l’assassin. Mais pourront-ils capturer un tueur qui n’a peut-être jamais été humain ? Qui arrêtera le Diable en gris ?

L'avis de Carrie : J’ai beaucoup aimé cette histoire d’épouvante où des personnes apparemment sans histoire se font sauvagement tuer par un agresseur invisible. La police enquête et elle est bien obligée d’admettre qu’elle a affaire, là, à des cas qui dépassent l’entendement et la logique et qui approchent du surnaturel. Surtout qu’un des policiers est directement concerné par ces crimes. L’histoire mêle vengeance vieille de 150 ans et vaudou. Un roman haletant que j’ai dévoré. Avec toujours des scènes bien gores. C’est Graham Masterton quoi !
Pour l’anecdote, il fait allusion, à un moment donné, à Josiah Billings, personnage qu’on retrouve dans un autre de ses romans «Apparition» (information pas sûre à 100% cependant car si je suis sûre du nom de famille, je ne suis pas sûre du prénom).

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010