Marque ta page

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Francophones Boron, Robert de Robert de Boron

Robert de Boron

Envoyer Imprimer PDF

(sans photo)

 

Robert de Boron (fin du XIIe siècle - début du XIIIe siècle) né à Boron (Territoire de Belfort), est un écrivain français du XIIe siècle, auteur d’un roman en vers sur le Graal.

Son œuvre, s'appuyant sur celle de Chrétien de Troyes et de Wace, marque une évolution du mythe du roi Arthur principalement par sa christianisation. C'est lui qui fait du Graal une relique chrétienne : le Saint Calice. En effet, selon lui le vase de la Cène aurait recueilli le sang de Jésus sur la croix. Après la Crucifixion, les membres de la famille de Joseph d'Arimathie en devinrent les gardiens. Joseph, fils de Joseph d'Arimathie, et son gendre Bron le transportèrent ensuite en Grande-Bretagne. À la fin de son poème, Robert de Boron indique qu’il est au service de Gautier de « Mont Belyal », qu’on identifie avec Gautier de Montbéliard, seigneur de Montfaucon, mort croisé en Terre Sainte en 1212.

(Source : Wikipedia)

Bibliographie :

  • Le Roman de l'Estoire dou Graal ou Joseph d’Arimathie, 1190-1199
  • Merlin, 1199
  • Perceval (écriture pas attestée)
 

Newsflash

 

David ne croit pas aux fantômes. Rationaliste convaincu, il met un point d'honneur à démasquer les faux médiums et à attribuer des causes naturelles aux prétendus phénomènes paranormaux. Mais un véritable mystère plane sur la vieille demeure d'Edbrook et, pour la première fois, David se heurte à l'inexplicable. Pour la première fois? Dans son acharnement à nier tout ce qui relève du surnaturel, ne cherche-t-il pas finalement à oublier ce qui le hante depuis l'enfance?

 

L'avis de Carrie : Voilà une histoire de fantômes et de vieille maison hantée comme je les aime. La preuve, j'ai lu ce livre en 2 après-midi. David, qui ne croit pas aux fantômes, va être confronté à ses propres démons et ses propres fantômes. Bon, je dois bien avouer qu'assez rapidement (avant d'avoir terminé la moitié du roman), j'ai deviné ce qu'il en était des habitants de cette lugubre maison. Mais ça n'a enlevé en rien le plaisir de la lecture de ce roman.

 

Pour discuter de cette lecture