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Par le fer

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par ferpar fer

 

Depuis la mort de sa mère, Kero cachait les pouvoirs qu'elle sentait frémir au fond d'elle même, la puissance qu'elle ne comprenait pas et qui l'aurait fait rejeter par les autres. Car elle était Kerowyn, petite-fille de la sorcière Kethry. Mais quand le mariage de son frère tourna au drame, elle dut choisir sa voie en un instant, enfourchant sa jument pour poursuivre la bande de massacreurs.

L'avis de Lanfear : Quel plaisir de lire cette histoire riche en évènements. J'ai été vraiment heureuse d'y retrouver (même si ce n'était pas longtemps) Kethry et Tarma, c'est vrai que ça fait tout drôle de les retrouver en grand-mères mais elles n'ont rien perdu de leur fougue (malgré quelques courbatures) et de leur esprit incisif. Kero est un personnage excellent et très attachant, et comme d'habitude c'était haletant et encore une fois bourré d'humour. D'autre part j'ai beaucoup aimé la description de la vie du mercenaire et ne la connaissant pas j'ai été sidérée par la fin (...). Décidément j'adore ce cycle, il est vraiment excellent !

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010