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Etrangers Straub, Peter Ghost story

Ghost story

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ghost storyghost story

 

Quatre vieux monsieurs passent leurs soirées à se raconter de fabuleuses histoires de fantômes. Mais depuis la disparition d'un des membres du club dans d'étranges circonstances, ils se sentent menacés, perdent le sommeil. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'ils vont bientôt se retrouver impliqués dans une hallucinante histoire de réincarnation...

L'avis de Nono : Eh bé ! Ce fut laborieux ! Heureusement que l'intrigue était bonne sinon je me serais arrêtée bien avant la moitié du roman. L'histoire donc est bien prenante, bien que très longue à se mettre en place, mais alors l'écriture... Ouille ouille ouille ! Ca aurait mérité d'être écrit par Stephen King un bouquin pareil parce qu'à mon avis la patte de Straub gâche énormément l'intrigue... Autant dans d'autres romans, ça passait, mais là les dialogues sont souvent bidon, les descriptions n'en parlons pas ! Je me suis fait à plusieurs reprises la réflexion qu'il avait seulement cherché à allonger ses pages ou à viser un certain nombre de caractères. Fin bref, je le conseille mais à lire en diagonale, quoi !

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010