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Francophones Prost, Emmanuel Concerto sur le Sornin

Concerto sur le Sornin

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concerto sornin

 

Un jour, Anthony Buisson déniche une vieille paire de chaussures aux pouvoirs extraordinaires. Reste à savoir si ces « semelles d’or » lui donneront l’occasion d’exister aux yeux de celle qui fait battre son cœur…
Après l'essai d'un jeu vidéo, David Monet réchappe de justesse à plusieurs accidents. Coïncidence : ces accidents sont ceux-là même que son personnage vient de vivre dans le jeu. Sortilège ou pure paranoïa ?
Armelle Boffin tombe sous le charme d’une boîte à musique et découvre avec plaisir qu’elle lui offre la possibilité de suspendre le temps. Un objet particulier qui pourrait très vite devenir l’arme de sa vengeance…
Ici, trois tranches de vie charliendines correspondent en alternance : un concerto aux notes flirtant parfois avec des tonalités diaboliques…


L'avis de Jaina : Je viens de terminer "Concerto sur le Sornin", ce livre est tout bonnement rafraîchissant, c'est une bouffée d'air frais, les personnages des trois nouvelles sont attachants et on ressent vraiment de l'empathie pour eux. Ne connaissant pas Charlieu, au départ je me suis dit, mince il va "se faire plaisir" à décrire sa ville dans ses nouvelles; mais en fait non seulement on sent bien que l'auteur se fait plaisir, mais il arrive à NOUS faire plaisir également au fil de la découverte de la ville qui est très bien intégrée dans les histoires. Le côté fantastique m'a plu aussi et surtout la poésie qu'on trouve en trame de fond dans chaque nouvelle et qui je pense révèle une belle sensibilité de la part de l'auteur.

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010