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Francophones Aubenas, Florence Florence Aubenas

Florence Aubenas

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florence aubenas

 

Florence Aubenas, née le 6 février 1961 à Bruxelles, est une journaliste française.

Considérée par le journal Libération comme l'une de ses meilleures plumes, Florence Aubenas est diplômée du Centre de formation des journalistes. Elle a travaillé pour Le Matin et Le Nouvel Economiste avant de rejoindre Libération. Elle couvre, en grande professionnelle habituée aux zones à risque, des événements au Rwanda, au Kosovo, en Afghanistan et en Irak et témoigne dans ses articles et ses livres. Elle consacre, entre autres, On a deux yeux de trop à son expérience au Rwanda. Enlevée le 5 juillet 2005 à Bagdad lors d'un reportage sur les réfugiés de Falloujah, elle apparaît très affaiblie dans une cassette diffusée le 1er mars par Sky-Italia. Partout, des comités de soutien s'organisent, des pétitions sont lancées, des concerts de protestations sont organisés : la France se mobilise pour réclamer la libération de celle que ses collègues et ses amis décrivent comme une fille drôle et sympathique au talent immense. Florence Aubenas est libérée après 157 jours de captivité. A son retour en France, elle est accueillie par Jacques Chirac et retrouve sa famille avant de répondre avec humour aux questions des journalistes. En 2005, cette grande professionnelle sort un ouvrage d'investigation, La Méprise, consacré au procès d'Outreau. Elle est l'une des premières journalistes à avoir fait part de ses doutes concernant la culpabilité des accusés. Toujours portée par sa conscience journalistique, elle s'intéresse aux questions sociales et à la précarité, notamment dans son livre Le Quai de Ouistreham.

(Source : Evene)

Bibliographie :

  • La fabrication de l'information. Les journalistes et l'idéologie de la communication., 1999
  • Résister, c'est créer, 2002
  • La méprise - L'Affaire d'Outreau, 2005
  • Grand reporter, 2009
  • Les détenus sont-ils des citoyens ?, 2010
  • Le quai de Ouistreham, 2010
  • Banlieue quand elle ne brûle pas, 2012
 

Newsflash

 

« Nous pensions avoir trouvé le refuge idéal, un cottage perdu au coeur de la forêt. Il était sans doute un peu délabré, mais tout à fait charmant et si paisible… C’est là que la magie a commencé. Midge et moi, nous avons atteint des sommets de créativité dans nos domaines respectifs : elle a peint des toiles extraordinaires et je me suis mis à jouer de la guitare comme un dieu ! Quant à l’amour qui nous unissait, c’est devenu la magie suprême…
Mais, comme toute médaille a son revers, le cottage avait lui aussi son mauvais côté. Et c’est là qu’intervient la mauvaise magie…
Aujourd’hui encore, j’ai de la peine à croire que des choses aussi terrifiantes aient pu arriver. Et pourtant… »

L'avis de Carrie : Comme pour « Les Autres » du même auteur, l’histoire est un peu longue à démarrer. Mais c’est sans doute pour qu’on s’imprègne bien de l’enchantement idyllique du début pour mieux plonger dans l’enfer par la suite. Donc, passé le moment un peu ennuyeux du début avec la mise en place des personnages dans leur nouvelle demeure, on tourne les pages avec de plus en plus d’avidité en se demandant « mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? ». Et finalement, il ne se passe pas grand-chose. J’avais espéré quelque chose de plus spectaculaire, plus effrayant. Moi qui aime les histoires de maisons hantées, je suis restée sur ma faim avec celle-ci. Un long roman (380 pages) pour peu de frayeur en définitive. En tout cas, moi qui n’avais déjà pas beaucoup de sympathie pour les sectes, ce roman m’a définitivement fâchée avec elles.
Donc, un peu déçue quand même.

 

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