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Etrangers Miéville, China China Miéville

China Miéville

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china mieville

 

China Miéville (né le 6 septembre 1972 à Norwich au Royaume-Uni) est un auteur britannique.

China Miéville a grandi avec sa sœur Jemima dans une maison du nord-ouest de Londres, dans le quartier de Willesden. Ses parents s'étant séparés quand il était très jeune, c'est sa mère, une ancienne hippie très engagée, qui s'est occupée d'eux, tout en se formant au professorat. China Miéville raconte n'avoir jamais vraiment connu son père, rencontré quatre fois avant le décès de ce dernier au milieu des années 1990. En dépit des conditions modestes du foyer, China Miéville se souvient d'une « belle enfance », et d'une jeunesse entourée d'amis, passée à « jouer à des jeux de rôle, lire, dessiner, écrire et plus tard à faire de la politique ». Élève boursier, à 11 ans, il commence à suivre des cours dans des écoles privées, dont deux années inscrit en internat. En 1991, il rentre à l'université de Cambridge, et abandonne rapidement des études de lettres pour l'ethnologie. À 18 ans, il part pour l'Égypte, puis le Zimbabwe afin d'enseigner l'anglais. Le chaos urbain du Caire le marquera et il s'en inspirera pour les cités de Nouvelle-Crobuzon. Il développera de cette expérience un vif intérêt pour la culture arabe et la politique du Moyen-Orient. Il est diplômé en ethnologie (Cambridge et London School of Economics). Sa thèse Between Equal Rights: A Marxist Theory of International Law, inspirée des idées de Evgeny Pasukanis, a été publiée en 2004.

(Source : Wikipedia)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Le Roi des rats, 2006
  • Perdido Street Station, 2003
  • Les Scarifiés, 2005
  • Le Concile de fer, 2008
  • Lombres, 2009
  • The city & the city, 2011
 

Newsflash

 

« Nous pensions avoir trouvé le refuge idéal, un cottage perdu au coeur de la forêt. Il était sans doute un peu délabré, mais tout à fait charmant et si paisible… C’est là que la magie a commencé. Midge et moi, nous avons atteint des sommets de créativité dans nos domaines respectifs : elle a peint des toiles extraordinaires et je me suis mis à jouer de la guitare comme un dieu ! Quant à l’amour qui nous unissait, c’est devenu la magie suprême…
Mais, comme toute médaille a son revers, le cottage avait lui aussi son mauvais côté. Et c’est là qu’intervient la mauvaise magie…
Aujourd’hui encore, j’ai de la peine à croire que des choses aussi terrifiantes aient pu arriver. Et pourtant… »

L'avis de Carrie : Comme pour « Les Autres » du même auteur, l’histoire est un peu longue à démarrer. Mais c’est sans doute pour qu’on s’imprègne bien de l’enchantement idyllique du début pour mieux plonger dans l’enfer par la suite. Donc, passé le moment un peu ennuyeux du début avec la mise en place des personnages dans leur nouvelle demeure, on tourne les pages avec de plus en plus d’avidité en se demandant « mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? ». Et finalement, il ne se passe pas grand-chose. J’avais espéré quelque chose de plus spectaculaire, plus effrayant. Moi qui aime les histoires de maisons hantées, je suis restée sur ma faim avec celle-ci. Un long roman (380 pages) pour peu de frayeur en définitive. En tout cas, moi qui n’avais déjà pas beaucoup de sympathie pour les sectes, ce roman m’a définitivement fâchée avec elles.
Donc, un peu déçue quand même.

 

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