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Etrangers Steinbeck, John John Steinbeck

John Steinbeck

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john steinbeck

 

John Steinbeck, né le 27 février 1902 à Salinas et mort le 20 décembre 1968 à New York, est un écrivain américain.

Né en Californie, John Steinbeck y passe quarante ans de sa vie, y fait des études sans décrocher d'ailleurs aucun diplôme. Après des débuts difficiles, sa carrière de romancier prend un nouveau tour avec le succès des Souris et des hommes puis des Raisins de la colère, récompensé par le prix Pulitzer en 1939. Il s'installe à New York en 1950 et se révèle être un chroniqueur et polémiste infatigable. Il prend position contre le maccarthysme aux Etats-Unis mais contre le communisme à l'étranger, et soutient le président Johnson pendant la guerre du Vietnam. Car si Steinbeck est surtout connu pour ses romans toujours beaucoup lus, il fut aussi reporter de guerre. D'abord pour le New York Herald Tribune pendant la Seconde Guerre mondiale, puis en 1966 au Vietnam. Son oeuvre, couronnée par le prix Nobel en 1962, a suivi une évolution significative. En effet, Steinbeck s'intéresse d'abord à la nature qui l'entoure, il adopte ensuite une approche teintée de déterminisme dans son traitement des rapports humains. Mais après 1945, il finit par prôner une morale de la responsabilité individuelle.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Des souris et des hommes, 1939
  • En un combat douteux, 1940
  • Nuits sans lune, 1945
  • Tortilla Flat, 1945
  • La Grande Vallée, 1946
  • Les Raisins de la colère, 1947
  • Rue de la sardine, 1947
  • Les Pâturages du ciel, 1948
  • Les Naufragés de l'autocar, 1949
  • La Perle, 1950
  • Au dieu inconnu, 1951
  • La Coupe d'or, 1952
  • À l'est d'Éden, 1954
  • Tendre jeudi, 1956
  • Un Américain à New York et à Paris, 1956
  • Le poney rouge, 1960
  • Voyages avec Charlie, 1970
  • Le Roi Arthur et ses preux chevaliers, 1988
  • Lune noire, 1994
  • Zapata - Viva Zapata!,  2003
 

Newsflash

 

« Nous pensions avoir trouvé le refuge idéal, un cottage perdu au coeur de la forêt. Il était sans doute un peu délabré, mais tout à fait charmant et si paisible… C’est là que la magie a commencé. Midge et moi, nous avons atteint des sommets de créativité dans nos domaines respectifs : elle a peint des toiles extraordinaires et je me suis mis à jouer de la guitare comme un dieu ! Quant à l’amour qui nous unissait, c’est devenu la magie suprême…
Mais, comme toute médaille a son revers, le cottage avait lui aussi son mauvais côté. Et c’est là qu’intervient la mauvaise magie…
Aujourd’hui encore, j’ai de la peine à croire que des choses aussi terrifiantes aient pu arriver. Et pourtant… »

L'avis de Carrie : Comme pour « Les Autres » du même auteur, l’histoire est un peu longue à démarrer. Mais c’est sans doute pour qu’on s’imprègne bien de l’enchantement idyllique du début pour mieux plonger dans l’enfer par la suite. Donc, passé le moment un peu ennuyeux du début avec la mise en place des personnages dans leur nouvelle demeure, on tourne les pages avec de plus en plus d’avidité en se demandant « mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? ». Et finalement, il ne se passe pas grand-chose. J’avais espéré quelque chose de plus spectaculaire, plus effrayant. Moi qui aime les histoires de maisons hantées, je suis restée sur ma faim avec celle-ci. Un long roman (380 pages) pour peu de frayeur en définitive. En tout cas, moi qui n’avais déjà pas beaucoup de sympathie pour les sectes, ce roman m’a définitivement fâchée avec elles.
Donc, un peu déçue quand même.

 

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