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Etrangers MacDonald, Paricia Ce que savait tante Carrie

Ce que savait tante Carrie

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Apprenant que sa tante est atteinte d'un cancer incurable, Andrew amène sa jeune femme, Jamie, à sa rencontre dans une très vieille maison. De fil en aiguille, le couple s'installe pour la nuit dans des endroits recouverts de poussière. Demain sera un jour difficile : il faudra expliquer à la tante qu'elle va partir en maison de retraite.
Afin de se familiariser avec les lieux, Jamie se promène un peu partout pendant que Carrie se repose.
Elle découvre une porte fermée à clef donnant sur le grenier…

L'avis de Nono : Comment vous dire... Hmm... je vais peser mes mots : ce livre est tout simplement une pure arnaque ! 95 pages écrit en très gros (genre 10 lignes par page...). Une intrigue qui vient sans réel intérêt, un dénouement dont on se doute dès la moitié du bouquin, pour finir sur une conclusion en eau de boudin... Et ils appellent ça un "roman". Pour tout vous dire, j'ai relu 2 fois la dernière page en me disant "mince c'est un extrait en fait ?" Bein non non pour de vrai, c'était complètement nul ! Enfin disons que je n'ai pas aimé, mais serais très curieuse de savoir qui peut aimer un truc pareil...

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010