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Etrangers McCourt, Franck Franck McCourt

Franck McCourt

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franck mccourt

 

Francis "Franck" McCourt, né le 19 août 1930 à Brooklyn et mort le 19 juillet 2009 à New York, est un enseignant et écrivain américano-irlandais.

Ancien professeur d'anglais, Frank McCourt attend la fin de sa carrière et la soixantaine pour publier Les Cendres d'Angela son premier roman. Best-seller mondial, le récit autobiographique de son enfance et de son adolescence miséreuse en Irlande et aux Etats-Unis reçoit le National Book Award et le prix Pulitzer en 1997. Pour fuir la pauvreté, sa famille avait rejoint Limerick dont elle était originaire alors que le futur auteur n'avait que 4 ans. Grandissant entre un père alcoolique et une mère contrainte de mendier, le jeune homme ne retrouve New York qu'en 1949. Balayeur, docker et dactylo, il y mène une existence précaire jusqu'à ce qu'éclate la guerre de Corée. Il part alors faire son service militaire en Allemagne et se voit offrir par l'armée une bourse d'études qui lui permet d'entrer à l'université et d'obtenir un diplôme d'enseignant. Conteur ironique, Frank McCourt, qui écrit dans une prose imagée, s'impose avec C'est comment l'Amérique ? comme l'une des grandes découvertes de la littérature anglo-saxonne de la fin du XXe siècle.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Cendres d'Angela (1996)
  • C'est comment l'Amérique? (1999)
  • Teacher Man (2005)
  • Angela et l'Enfant Jésus (2007)
 

Newsflash

 

« Nous pensions avoir trouvé le refuge idéal, un cottage perdu au coeur de la forêt. Il était sans doute un peu délabré, mais tout à fait charmant et si paisible… C’est là que la magie a commencé. Midge et moi, nous avons atteint des sommets de créativité dans nos domaines respectifs : elle a peint des toiles extraordinaires et je me suis mis à jouer de la guitare comme un dieu ! Quant à l’amour qui nous unissait, c’est devenu la magie suprême…
Mais, comme toute médaille a son revers, le cottage avait lui aussi son mauvais côté. Et c’est là qu’intervient la mauvaise magie…
Aujourd’hui encore, j’ai de la peine à croire que des choses aussi terrifiantes aient pu arriver. Et pourtant… »

L'avis de Carrie : Comme pour « Les Autres » du même auteur, l’histoire est un peu longue à démarrer. Mais c’est sans doute pour qu’on s’imprègne bien de l’enchantement idyllique du début pour mieux plonger dans l’enfer par la suite. Donc, passé le moment un peu ennuyeux du début avec la mise en place des personnages dans leur nouvelle demeure, on tourne les pages avec de plus en plus d’avidité en se demandant « mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? ». Et finalement, il ne se passe pas grand-chose. J’avais espéré quelque chose de plus spectaculaire, plus effrayant. Moi qui aime les histoires de maisons hantées, je suis restée sur ma faim avec celle-ci. Un long roman (380 pages) pour peu de frayeur en définitive. En tout cas, moi qui n’avais déjà pas beaucoup de sympathie pour les sectes, ce roman m’a définitivement fâchée avec elles.
Donc, un peu déçue quand même.

 

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