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Francophones Baudelaire, Charles Les Fleurs du mal

Les Fleurs du mal

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" Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! " Parce qu'il se complaît au seuil de la nuit, qu'il est cet homme témoin de l'éternelle misère, assailli d'angoisse devant le temps qui fuit et la vie qui s'use, Baudelaire s'étourdit, de rêves et d'espace. Il voyage sur une chevelure, se joue des couleurs, célèbre le vin, se grise de lunes, se mire dans les yeux des chats et dans ceux, plus troubles, des femmes. Le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau... Tout est prétexte à l'enivrement. Même le Mal, dont il extrait la Beauté, fait de sa poésie " une gerbe épanouie de mille fleurs "...

L'avis de Nono : Si sombre, si déroutant, si... beau ! Baudelaire est incontestablement un dieu dans son univers. Rien à redire, il nous plonge dans sa poésie mélancolique et étourdissante. A jamais inimitable !

 

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Newsflash

 

David ne croit pas aux fantômes. Rationaliste convaincu, il met un point d'honneur à démasquer les faux médiums et à attribuer des causes naturelles aux prétendus phénomènes paranormaux. Mais un véritable mystère plane sur la vieille demeure d'Edbrook et, pour la première fois, David se heurte à l'inexplicable. Pour la première fois? Dans son acharnement à nier tout ce qui relève du surnaturel, ne cherche-t-il pas finalement à oublier ce qui le hante depuis l'enfance?

 

L'avis de Carrie : Voilà une histoire de fantômes et de vieille maison hantée comme je les aime. La preuve, j'ai lu ce livre en 2 après-midi. David, qui ne croit pas aux fantômes, va être confronté à ses propres démons et ses propres fantômes. Bon, je dois bien avouer qu'assez rapidement (avant d'avoir terminé la moitié du roman), j'ai deviné ce qu'il en était des habitants de cette lugubre maison. Mais ça n'a enlevé en rien le plaisir de la lecture de ce roman.

 

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