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Carmilla

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carmilla

 

La jeune Laura vit avec son père dans un château isolé au cœur d'une forêt de Styrie, en Autriche.
L'arrivée énigmatique et impromptue de la belle Carmilla vient rompre une pesante solitude. Mais bien vite, le comportement étrange de cette nouvelle compagne éveille la curiosité de Laura. Peu à peu se noue entre les deux jeunes femmes une relation passionnée, tandis qu'un mal mystérieux commence à décimer les jeunes filles de la région.


L'avis de Carrie : Il s'agit d'une adaptation en BD du roman de Joseph Sheridan Le Fanu écrit en 1871.
Je vais donner là mon avis en faisant abstraction de la nouvelle originale puisque je n'ai pas lu cette dernière.
Le dessin ressemble beaucoup à celui de Manara (la BD érotique, pour ceux qui connaissent), en N&B, il y a 102 pages (plus du double d'une BD classique), donc on en a pour son argent. A mon avis, même si je n'ai pas lu l'histoire originale, l'histoire ici est plus érotique. Sofia Terzo montre et dit ce qui est juste suggéré par Le Fanu. Sinon, belle histoire de vampire au féminin.

 

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Newsflash

 

James Herbert est un auteur anglais spécialisé dans le domaine de l'horreur né le 8 avril 1943 à Londres.

Après avoir caressé la carrière de chanteur et de directeur artistique, James Herbert se consacre à la littérature. Peu à peu, il se spécialise dans l'horreur, sous toutes ses formes. Plusieurs thèmes sont récurrents dans son oeuvre : les catastrophes, le surnaturel, le nazisme et la réincarnation. Il aborde les catastrophes à plusieurs reprises, notamment dans ses premiers romans, comme La Trilogie des rats ou Fog ; tous deux influencés par les romans de science-fiction de John Wyndham. L'horreur qu'il dépeint ici est symbolique du déclin de la société, où même les autorités sont incompétentes. Sa période surnaturelle (Dis-moi qui tu hantes, Le Survivant) laisse l'horreur scientifique pour une horreur plus improbable. James Herbert revient ensuite aux horreurs plus terre à terre en consacrant deux romans historiques où des Britanniques sympathisent avec des nazis. Le dernier thème phare de la bibliographie de James Herbert est la réincarnation, comme dans Others ou Le Jour où je suis mort.

(Source : Evene)

Bibliographie : (dates de publications françaises)

  • Les Rats, 1976
  • Le survivant, 1978
  • Le Sombre, 1986
  • Pierre de lune, 1987
  • Le Repaire des rats, 1989
  • L'empire des rats, 1991
  • Fluke, 1992
  • La Lance, 1992
  • Hanté, 1992
  • Sanctuaire, 1993
  • Fog, 1994
  • Sépulcre, 1995
  • Présages, 1996
  • 48, 1999
  • Ballade pour un ange déchu , 2000
  • La Conspiration des fantômes , 2000
  • Le Jour où je suis mort , 2005
  • Le Secret de Crickley Hall, 2008
  • Les Autres, 2009
  • Magic cottage, 2010